Avec les parisien

Le matériel de pêche est prêt à être chargé dans la voiture, tandis que les vêtements sont toujours au placard. Allez, je fais ce dernier sac, et on prend la route pour Paris!
C'est accompagné de ma compagne et d'une de ses collègues de boulot que je ferai le trajet. Elles, elles viennent sur Paris pour une formation, moi je profite de ce trajet pour retrouver mes amis parisiens, et tant qu'a faire, on s'est organisé une session pêche entre moucheurs.

Samedi, réveil à 6h30 chez François. Nous prenons la voiture et partons récupérer Jérôme et Antoine. Le soleil se lève. Une belle sphère orange nous éclaire, mais très vite les nuages viendront le cacher. Nous arrivons enfin au bord de l'étang. Les barques sont là, prêtes à nous promener sur ces eaux. Jérôme et Antoine font équipe ensemble, ils connaissent déjà l'étang contrairement à François et moi.

D'ailleurs, c'est la première fois que François traque le brochet à la mouche. Nous posons l'ancre et les soies commencent à fuser dans l'air. Très vite Jérôme annonce un poisson. C'est une belle perche d'au moins 40 cm. Au lancé suivant il en fait suivre une autre du même calibre. Ont se déplace légèrement sur le haut fond. C'est au tour d'Antoine de prendre une tape mais le poisson ne se pique pas. Quelques minutes plus tard, Jérôme tient le premier brochet de la journée.
Ça commence plutôt bien malgré le froid. Nous sommes sur l'eau depuis un peu plus de 30 minutes et nos doitgs son déjà gelés. Le vent de nord-est est vraiment pas chaud. Aller, une petite soupe pour se réchauffer les mains, et c'est reparti.
Midi arrive, Antoine à fait suivre un brochet et à eu une seconde tape inférable. Quant à François et moi, c'est le néant. Pas une tape, même pas un suivit. Ont accostent les barques pour marcher un peu et manger un bout.

Toute la matinée nous avons pêché la pleine eau. François et moi optons pour peigner les bordures. D'après les habitués, les bordures sont bien moins productives à cette saison, mais une partie est à l’abri du vent. Antoine et Jérôme continue sur la même tactique.
Il n'a pas fallut attendre longtemps pour que François ait la première tape de la journée. Malheureusement inférable. Peu de temps après je fais suivre une grosse zébré d'environs 45 jusqu'au bateau. Il y a plus d'action près des berges finalement. Mais ça n'a pas duré. Plus rien pendant  une heure. Nous décidons de retourner là où Jérôme a fait sa perche. Nous peignons la zone sans succès. On se place un peu plus loin en se rapprochant de nouveau près de la berge. Le streamer de François arrive près du bateau quand je vois une grosse perche derrière. Je prends aussitôt une tape. J'ai l'impression de tenir une perche, mais mon streamer qui mesure 33 centimètres me met le doute. Sur une soie de 10 ça bataille pas des masse, et le combat ressemble belle est bien à une perche. Le poisson arrive et c'est une belle zébrée qui fini dans l'épuisette.

Neuf centimètres sépare la perche de mon streamer. Nous insistons mais plus rien, elles sont méfiantes.

François veut retourner là où il a eu sa tape. Il lance au même endroit tandis que je lance près d'une branche en bordure. Le streamer descend lentement, les strip sont lent, je sens les branches. Juste après ça, je sens quelques choses de bien différent. Je ferre, et c'est bien un poisson qui est au bout. C'est déjà plus lourd, rapidement je vois un brochet non contant de s'être fait avoir. Il secoue la tête sans vraiment chercher à partir. François s'empare de l'épuisette et en peu de temps le brochet fini au fond du filet.
Un joli 90 vient poser devant l'objectif.

Le soleil décline vite, nous retrouvons Antoine et Jérôme qui ont fait un brochet chacun. Il nous reste une heure de pêche et Jérôme fera un nouveau brochet sur les dernière minutes.

A bientôt 


Marc